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     Bonjour à Tous nos Citoyens,

.......En écoutant les spécialistes,

notre système de Retraite par Répartitions,

fonctionne bien, et ne sera en Faillite !

  - Si je prends mon cas:

j'ai commencé à cotiser à l'âge de 14 ans,

donc normal que je perçoive, ce que

j'ai versé avant l'âge de ma retraite ! ! ! 

- Mais si le Président actuel,

souhaite changer le système,

c'est qu'il faut "  qu'il pique  "dans 

les 40 caisses de retraite, de l'argent

pour renflouer les MILLIARDS,  distibués

pendant ces deux années de Pandémie ! ! !

  Et rallonger la Retraite à 65 ans,

pour que le Maçon, pose ses PARPAINGS,

avec son déambulateur, sur son échaffaudage ......

>>>>>>>      Quel TRISTE constat .................

 Pour les jeunes Maçons d'Aujourd'hui.......

 - Hier 16 Avril, j'ai écouté bien sûr,

Notre Président MACRON à Marseille, avec

2000 personnes, il est venu demander

aux Jeunes d'aller voter, et au cours du

discours, il a dit  :

  - je cite : " Là où nous avons échoué "......

 - Mais aussi,  il n'a pas demandé, 

s'ils souhaiteraient voir des EOLIENNES, 

    dans le Port de Marseille ? ? ?

 - Ou en Offshore en face de Marseille,

où les pécheurs ne pourraient plus aller

pécher des Rascasses ! ! !  Comme en BRETAGNE ! ! !

   .....Le voilà parti dans l'écologie .....

     Votre Lanceur d'Alerte pour Dimanche prochain,

             allez voter c'est le principal,

               car après il sera difficile de se plaindre,

                       Mais nous ne changerons pas de Président !

                                                                         Patrick.

Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion de l’Ifop. | MATHIEU PATTIER, OUEST FRANCE

Au lendemain du premier tour, quels enseignements tirer de l’abstention, de la percée de Jean-Luc Mélenchon, du nouveau duel Macron-Le Pen ? Jérôme Fourquet, de l’Ifop, livre son analyse.

Jérôme Fourquet, auteur de La France sous nos yeux et de L’Archipel français, analyse les résultats du premier tour de l’élection présidentielle.

 

Et pour Marine Le Pen ?

On est sur une France bien plus populaire, avec des scores élevés dans les territoires désindustrialisés, cette France un peu périphérique ou à l’écart. Par exemple, le bassin minier du Nord. De nouveau, géographiquement, on a deux France qui s’opposent, se font face. Plus on s’éloigne du cœur des grandes villes, plus le vote RN augmente. Plus on s’en rapproche, plus le vote Macron progresse.

On a donc la même finale qu’en 2017. Le score sera-t-il plus serré ?

Il faut être prudent et modeste. Mais quand on regarde les premières enquêtes, on est sur un rapport de force quasi équivalent. Un palier a été franchi par la candidate RN, pour deux raisons. La première : elle a accompli un travail de lissage de son image, effaçant le souvenir du débat d’entre-deux-tours de 2017. Elle a aussi gagné en présidentialité. 50 % des Français considèrent qu’elle a la stature d’une présidente. Du jamais-vu ! La seconde raison expliquant que le rapport de force peut être plus serré le 24 avril, c’est qu’Emmanuel Macron est sortant. Il a un bilan contesté à défendre… Ce sera donc front républicain contre front anti-Macron.