Bonjour à tous nos lecteurs,

De nombreux camions et lourds engins de chantiers empruntent nos rues, dégradant nos revêtements réalisés trop minces, dans le but d’augmenter le profit des entreprises retenues.

On assiste à de nombreux nids de poule, et des fissures dans le revêtement des chaussées. Pour précipiter l’agonie de nos enrobés, des pelles à chenilles vont et viennent directement sur la chaussée, car la remorque porte-engin ne peut approcher les chantiers en raison de l’étroitesse de certaines de nos routes.

Pour arranger la situation, des permis de construire sont attribués sur le flanc de l’Arradoy – bienvenue à ces futurs résidents-, sans trop se soucier si l’approche de ces lourds engins de travaux publics et autres camions de matériaux et bétons sera possible, sans mettre à mal des portions de route.

Je pense notamment à la portion de voie à hauteur de la ferme Jauberria, limitée dans le tonnage admissible par un panneau, souvent couché dans la vigne Uhaldia, et non respectée lors d’un dernier chantier.

Si les premières livraisons de pierres réalisées par de gros tracteurs et remorques double essieux ont été faites par les chemins de Peko-Mahastia, puis d’Itzalguy, pour ménager cette portion de voie vulnérable à hauteur de Jauberria, les nombreuses autres rotations se sont faites par Jauberria, sur une route très étroite.

Avant d’accorder quelques CU et permis de construire, n’aurait-il pas fallu la contribution des vendeurs pour une cession gratuite de terrain en vue des élargissements nécessaires? et peut-être une clause de remise en état après travaux.

Déjà cette portion de route porte les stygmates d’une chaussée ayant souffert de ces poids excessifs. Enfle aussi, l’inquiétude de Mme Mélanie Lardapide qui constate dejà quelques désordres. Qu’en sera-t-il lors des livraisons de béton et matériaux ?

La commune devra t-elle passer à la caisse pour refaire les murets de soutènement, si par mal chance, ils cédaient sous le poids ?

Affaire à suivre…

Bonne journée.

Jean-Baptiste